Les traitements esthétiques effectifs chez la femme

Nous allons envisager maintenant les soins que vous pouvez pratiquer chez la femme de 35, 40 ans, la femme épanouie, pour laquelle cette période de l’existence représente le début de l’inévitable déclin.

Les soins esthétiques entrepris à l’âge de 35, 40 ans

Soins esthétiques

Soins esthétiques

En ralentir la progression et redonner à la cliente confiance et sûreté d’elle, tel est le travail majeur de l’Esthéticienne.

Il sera facilité par le fait que les soins esthétiques entrepris à cet âge jouent le rôle d’un véritable coup de fouet qui retentit très favorablement sur le comportement, sur l’état générale et sur le psychisme.

En franchissant le seuil de l’Institut de Beauté les femmes prouvent qu’elles veulent rester jeunes. Or, ce désir et cette volonté déclanchent des réactions complexes et multiples d’auto-défense qui sont éminemment favorables à la bonne réussite des traitements.

Ces clientes gardent une allure encore jeune et leur visage est toujours agréable ; mais vous apercevrez, malgré cela, que l’aspect annonce désormais le commencement de leur automne.

L’épiderme et les traits sont marqués chez certaines, par des flétrissures précoces dues, plus qu’à l’âge, aux soucis et à la maladie.

L’ensemble des équilibres a été rompu sous l’influence de facteurs si nombreux et divers qu’il est pratiquement impossible d’en dresser la liste ; elle va des troubles organiques aux tracas d’ordre matériel et même aux déceptions sentimentales.

Un facteur sont l’Esthéticienne tiendra particulièrement compte est l’état d’excitation nerveuse, su fréquent à l’heure actuelle, qui use et même tant de femmes.

Les signes de cette flétrissure naissante, très discrète et plus souvent, pourraient être groupés en deux catégories de modifications : celles d’ordre plastique et celles qui portent atteinte à la texture et à l’aspect cutanés.

Les modifications d’ordre plastique

Les modifications d’ordre plastique chez la femme arrivée à l’âge mûr se manifestent par une altération de l’harmonie des contours, soit par le visage ait tendance à s’empâter, soit qu’il ait tendance à se réduire.

Dans le premier cas, où le double menton commence à se dessiner, on constante une épaississement du pannicule adipeux dont les causes, si diverses, sont difficiles à préciser : la gourmandise, ce péché de la femme mûrissante, n’y demeure pas étranger.

Dans le deuxième cas, nous remarquons, au contraire, un amincissement du pannicule adipeux, de l’atonie musculaire et, dort souvent, la déshydratation des couches profondes de la peau.

L’amaigrissement provoque l’altération du galbe du visage et donne aux tissus un aspect flasque car la diminution des réserves de graisses et la perte de la tension musculaire se traduisent par une moindre fermeté du système cutané.

Si, de plus, la déshydratation profonde est importante, nous aurons une peau flasque puisque les tissus sont privés de leur élément plastique principal dont la pauvreté freine les échanges nutritifs intra-cellulaires.

Les modification de la texture et de l’aspect cutanés

Le signe principal de ces modifications est la tendance de l’épiderme à se friper.

Cet aspect de la peau nous rappelons le papier de soie froissé, est très discret et faiblement apparent à son début. C’est plus tard qu’il s’accentuera et que la peau desséchée, flétrie, tannée, rayée de plissures, révèlera l’usure des fibres élastiques.

Il y a donc lieu de procéder à un examen attentif du visage de la cliente au moyen de la loupe qui permet de mettre en évidence des détails encore imperceptibles à l’œil nu ; ceci de pouvoir intervenir précocement et d’éviter, puisqu’on le peut, le vieillissement du visage considéré autrefois comme inéluctable.

Vieillissement du visage

Vieillissement du visage

En plus de ces modifications signalons l’apparition possible de poils superflus sur la lèvre supérieure et le menton.

Ce signe d’une dérèglement endocrinien incitera l’Esthéticienne à conseiller une consultation par le médecin spécialiste puisque les dysendocrinies influencent le métabolisme des éléments plastiques de la peau, c’est-à-dire, de l’eau des protides et des lipides.

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